Vous avez plus de 50 ans, et vous vous dites des choses comme "c'est trop tard", "c'est pas pour moi",...
Voici quelques témoignages :
"L'Aïkido peut être pratiqué dès le plus jeune âge et jusqu'à un âge très avancé (certains aikidokas ont plus de 75 ans)"
"L'absence de compétition, la fluidité et l'harmonie des mouvements de l'aikido autorisent sa pratique quel que soit l'âge"
"Un adulte peut démarrer l'aikido très tardivement ; je ne pense pas avoir connu de limite d'âge. La seule restriction est l'établissement d'un certificat médical stipulant l'autorisation de la pratique de l'aikido. Celui-ci est obligatoire et à renouveler chaque année. Il est certain que plus la pratique démarre à un âge avancé, plus la période d'adaptation sera longue, surtout sur le plan physique musculaire, articulaire et respiratoire"
"Non ce n'est pas une illusion de pratiquer l'Aïkido à 50, 60, 70 ans ou plus ; l'illusion ce serait plutôt de croire ou faire croire que l'on pourra pratiquer de la même façon que les plus jeunes , c'est bien évidemment faux et ceci pour toutes les disciplines et pas seulement martiales.
La pratique sera aménagée de la même façon qu'elle l'est pour les enfants ,ils ne pratiquent pas le même aikido que les adultes, ce qui ne les empêchent pas d'y prendre un plaisir manifeste.
L'apprentissage des chutes est bien sûr indispensable à une pleine pratique de l'aiki mais j'ai vu des "jeunes " qui ramaient plus que des vieux sur les chutes, nous ne sommes de toutes façon pas égaux devant l'activité physique et cela quel que soit l'âge du pratiquant.
Tout cela dépend de notre passé de sportif ou non , de nos appréhensions diverses et variées, de notre volonté etc...
L'aikido est une discipline suffisament riche pour que chacun y trouve du plaisir meme sans les chutes plaquées.
L'idéal est de prendre le temps de trouver un club qui te convienne : la personnalite du professeur et des autres pratiquants qui t'accompagneront dans ta progression est un facteur important.
Par expérience je peux te dire: l'aikido ? l'essayer c'est l'adopter"